Jean Luc Antoine Designer mobilier acier haut de gamme pour Ykebana

Son périmètre esthétique frappe par sa richesse et sa variété par l’alliance de « l’art et l’industrie » comme dans les Arts Déco de l'Ecole de Nancy.

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Une philosophie
A 60 ans, Jean Luc Antoine a
déjà balayé mille et un champs
des possibles. Le périmètre
esthétique de ce designer
frappe par sa richesse et sa
variété : architecture, design,
communication et environnement.
Le fruit de ce parcours original
se déguste désormais par un
retour aux fondamentaux de ses
prédécesseurs, maîtres des arts
décoratifs « Ecole de Nancy », au
début du siècle. Comme eux,
Jean-Luc Antoine croit avec
ferveur à l’alliance de « l’art
et l’industrie ». Cette volonté
des Gallé, Majorelle et autres
Prouvé d’associer les grands
manufacturiers à une appropriation
d’une démarche esthétique,
se traduit au 21e siècle par des
approches high-tech avec le
dessin et la conception assistée
sur ordinateur ( DAO, CAO, FAO ),
appliquée avec brio dans l’édition
de mobilier d’art.

Depuis sa collaboration avec
l’architecte designer vénitien
installé à New-York Gaetano
Pesce, Jean luc Antoine s’est
 
forgé une philosophie. C’est chez
lui une quête, une préoccupation
fondatrice : introduire la créativité
et l’imagination dans les produits
de consommation courante.
Depuis 20 ans, il travaille comme
un explorateur, expérimentant de
nouvelles formes, de nouveaux
matériaux, de nouveaux process.
Son objectif : produire et vendre
autrement, c’est-à-dire en dehors
des convenances standardisées. Si
autrefois, pour prendre le contrepied
de la standardisation imposée
  et aider les entrepreneurs à
optimiser leur utilisation. Le
développement technologique fruit
de la créativité des scientifiques
doit être un facteur d’amélioration
des conditions de vie de nos
contemporains et de l’amélioration
de leur niveau de culture ». Cette
confidence de Jean-Luc Antoine
traduit bien ce duo fructueux.
Avec « Ykebana édition »,
Framatec et Jean-Luc Antoine
explorent une voie médiane en
imaginant des oeuvres en séries
art et industrie
par l’épopée industrielle, l’exclusif
passait par les artisans d’art
dédiés essentiellement aux élites,
les nouveaux outils industriels
permettent désormais de petites
séries.
« Le designer ne doit plus être
tributaire de la technique mais
au contraire aider les industriels
à tirer le meilleur parti de leurs
fabuleux outils. Il doit être un
générateur d’idées nouvelles
  limitées, en rupture avec la
production standardisée, souvent
fabriquée sans exigence dans
des pays à faible coût de main
d’oeuvre. Les finitions et les
habillages sont réalisés en étroite
collaboration avec des artisans
d’art.

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